Das Bundesgericht hatte sich im Entscheid 4A_224/2018 vom 28. November 2018 mit der Missbräuchlichkeit einer Kündigung nach einer Schlägerei zwischen zwei Arbeitnehmern auseinanderzusetzen.

Zwei Mitarbeiter waren in eine Schlägerei involviert, nachdem es bereits im Vorfeld zu verbalen Auseinandersetzungen gekommen war. Einer der beiden Mitarbeiter wurde in der Folge auch wegen Körperverletzung verurteilt.

Der in der Schlägerei Unterlegene verlangte nach der Schlägerei, dass der Arbeitgeber Massnahmen ergreife, eventuell sollte der andere sogar gekündigt werden. Der Arbeitgeber war hingegen der Ansicht, er wollte beide Mitarbeiter behalten (Environ deux semaines après l’altercation, Z.________ a rencontré le directeur précité. Il lui a demandé de licencier B.________, ou alors de trouver une solution pour éviter qu’il soit confronté à celui-ci, car il ne pouvait moralement pas supporter de reprendre le travail et de se retrouver en présence de son agresseur.  Le directeur lui a cependant expliqué qu’il avait décidé de garder les deux employés: Z.________ parce qu’il était père de famille, et B.________ parce qu’il était un bon mécanicien et spécialiste de la marque…. Il a aussi dit à Z.________ que s’il trouvait quelque chose de mieux, il devait saisir l’occasion et pouvait compter sur lui pour des conseils).

Der Unterlegene war in der Folge krank geschrieben. Nach Ablauf der Sperrfrist wurde ihm, unter Hinweis auf sein vergangenes Verhalten gekündigt (Par courrier du 15 janvier 2015, la succursale de A.________ SA a résilié le contrat de travail de Z.________ pour le prochain terme du 31 mars 2015, en invoquant les avertissements dont il avait été l’objet et son comportement avec l’un de ses collègues de travail).

 

Missbräuchlichkeit der Kündigung

Das Bundesgericht war der Meinung, die Kündigung sei missbräuchlich, insbesondere weil der Arbeitgeber erklärt hatte, beide Mitarbeiter behalten zu wollen und keine Massnahmen zur Konfliktlösung bzw. zum Schutz des Unterlegenen ergriff (zu den Gründen, welche eine Kündigung missbräuchlich machen, siehe insbesondere den Beitrag „Der Arbeitgeber war schuld?!“):

En définitive, il n’était pas contraire au droit fédéral de retenir en fait que deux semaines après la bagarre du 29 septembre 2014, le demandeur avait demandé à la défenderesse de prendre des mesures de protection comme il ne se sentait plus capable de côtoyer son collègue, et que tout portait à croire que cette demande avait motivé la résiliation du contrat de travail, les motifs invoqués n’étant pas réels. L’intervalle entre la demande de mesures et le congé peut s’expliquer par le délai de protection de l’article 336c al. 1 let. b CO, et la défenderesse n’en tire du reste pas argument.  
En droit, l’autorité précédente était fondée à considérer que la défenderesse, après la bagarre du 29 septembre 2014, ne pouvait plus se contenter de remettre à l’ordre les employés et aurait dû prendre des mesures concrètes pour protéger la personnalité du demandeur, respectivement que le congé donné dans les circonstances concrètes était abusif.

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